L’harmonisation des corps, c’est d’être capable de créer une entente, une diplomatie corporelle entre le plan mental, le plan astral, le plan vital et le plan physique. Cela veut dire que j’ai tel goût psychologique, est-ce que ce goût psychologique, je peux l’harmoniser avec une réalité physique ?
Ben il faut que l’homme pense comme ça, parce que sinon votre évolution continue à être difficile, parce qu’un moment donné, vous avez tel problème pathologique, ça fait 15 ans, 20 ans que vous le préparez et vous demandez au médecin de faire un miracle. Immédiatement, je veux qu’il me guérisse, sinon, ben on chiale, on broute, on change de gouvernement. Ce n’est pas ça qu’il faut faire. Il faut prendre conscience immédiatement que notre santé, c’est nous-autres qui la créons mais pas qu’on la mérite, que le médecin nous la doit.
Ce n’est pas comme ça qu’il faut qu’on marche. Le fait de boire des tisanes, ça change des choses, le fait d’être végétarien, ça change des choses mais ça ne change pas grand chose. Il y a encore bien des malades qui sont végétariens, quand ils ne sont pas carrément bloqués par leur concept végétarien qui les empêche d’aller manger avec d’autres personnes, parce qu’on sert de la viande ou du poisson.
L’harmonisation des corps doit commencer par l’entretien du corps physique selon ces lois. Et ces lois-là, je ne les expliquerai pas, je pense que tout le monde les connaît, on a suffisamment de livres faciles à lire au niveau médical pour connaître les lois du corps physique. On a des livres, des programmes de cuisine, de diète complète, tout ce qu’il faut pour avoir raisonnablement, matériellement, minéralement, protéinement, en fibres, en tout pour avoir un corps en santé.
Ça, c’est facile. Le problème n’est pas là. Là on va dire “Eh oui mais est-ce que je vais avoir la volonté de ?” Est-ce que mon plan psychologique va me permettre d’être en santé ? C’est ça qu’est la question. Mais votre plan psychologique, c’est vous, et votre plan mental, c’est vous, et ces deux-là vont “s’astiner” (s’entêter, se quereller / déformation de s’obstiner) souvent dans votre tête. C’est ce qui se passe. “Je veux mais je ne peux pas. Il y a quelque chose de plus fort en moi qui m’empêche !”, c’est vous-autres, c’est vous-autres !